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Voyage au Sri Lanka

16 juillet 2006

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Bonjour et bienvenu sur ce blog, petit résumé de notre séjour au Sri Lanka du 1er au 15 juillet 2006

Vous trouverez également sur ce blog quelques informations sur ce magnifique pays !

bouddha_index1

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16 juillet 2006

Le Sri Lanka en bref

Sri_lanka

Sri Lanka ou Ceylan ?

Le pays a souvent changé de nom au cours de sa longue histoire : Taprobane au temps des Grecs, Serendib à l’époque de Sindbad, Ceilao au temps de la route des Indes portugaises dont les Hollandais firent Zeilan, les Anglais Ceylon et les Français Ceylan. Le 22 mai 1972, la République a repris son nom de Lanka qui fut le sien dès le 1er millénaire, et lui a ajouté Sri qui signifie « resplendissant ».

Le nom de Ceylan est toujours utilisé comme label de qualité pour le thé produit dans l’île.

Situation géographique
Île située au sud-est de l’Inde dans l’Océan Indien, exactement entre 5°51’ et 9°43’ de latitude nord et 81°53’ de longitude est, soit à 7 500 km et une douzaine d’heures d’avion de Paris.


Superficie et relief
65 607 km2, soit un peu plus du huitième de la France, 435 km du nord au sud et 225 d’est en ouest.
La zone littorale est constituée de plaines (plus de mille kilomètres de plages), tandis que le centre et le sud de l’île est une zone montagneuse dont le point culminant est le Piduru Talagala (Mont Pedro) à 2 527 m d’altitude. Citons aussi parmi les pics les plus élevés le Pic d’Adam (2 243m).

Population
19.6 millions d’habitants dont 74% de Cinghalais en majorité bouddhistes et 19% de Tamouls en majorité hindouistes.

Les religions représentées : 69% de bouddhistes, 16% d’hindouistes, 8% de musulmans et 7% de chrétiens. Avec 69% d’adeptes, le bouddhisme est la religion la plus représentée sur l’île depuis plus de 23 siècles. Le Sri Lanka a joué un rôle considérable dans l’histoire du bouddhisme. Durant le Haut Moyen Âge, un réseau d’universités bouddhiques se déploya du golfe de Bengale à Sumatra. Leur localisation, leur vie quotidienne et les enseignements qui y étaient dispensés sont connus grâce aux récits de voyage laissés par les pèlerins venus de Chine pour étudier la loi bouddhique. Pour tous, le Sri Lanka était l’un des principaux lieux de culte et d’enseignement du bouddhisme. Il est aujourd’hui encore le gardien d’une relique d’une valeur inestimable, la Dent du Bouddha, jalousement gardée par les rois de l’île depuis le IVe s.C

Relief
Littoral de plaines et zone montagneuse au centre et au sud, dont le point culminant est le Piduru Talagala (Mont Pedro), 2 527 m.

Capitale :
Colombo. Une partie des instances administratives a été transférée à Sri Jayewardenepura, ou Kotte, dans la banlieue est de Colombo.

Gouvernement :
République Démocratique Socialiste
PNB Annuel par habitant : US$ 876

Langues
Le cinghalais ou sinhala est la langue la plus répandue (74% de la population). Langue officielle, elle est utilisée dans l’administration et à l’école. Apparentée aux langues indo-européennes, elle s’est enrichie au cours des siècles d’emprunts divers, du sanskrit à l’anglais en passant par le pali, le portugais et le hollandais. Elle dispose d’un long alphabet (plus de 50 signes) qui lui est propre. Le tamoul (8,5%) est parlé dans le nord et l’est du pays, ainsi que dans la région montagneuse. L’anglais est, comme en Inde, une langue de communication, pratiquée par 10% de la population

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16 juillet 2006

Histoire

drapeauSri_20Lanka Sri Lanka, en singhalais Sri Lanka et en tamoul llangai, pays d’Asie du Sud donnant sur l’océan Indien. Sa capitale est Colombo, tandis que Sri Jayavardhanapura abrite le siège du Parlement. Le Sri Lanka est membre du Commonwealth.

Le Sri Lanka est situé au sud-est de l’Inde, dont il est séparé par le détroit de Palk et le golfe de Mannar.Le Sri Lanka s’est appelé Ceylan jusqu’à l’indépendance du pays, en 1948, dans le cadre du Commonwealth moderne

HISTOIRE :

La colonisation de l’île

Autrefois habitée par des tribus australoïdes dont descendent les Veddas, l’île est colonisée au ve siècle av. J.-C. par des tribus venues d’Inde. Le bouddhisme est introduit dans l’île au iiie siècle av. J.-C., selon la tradition, par le prince indien Mahinda, fils (ou frère) du souverain indien Ashoka. Cette religion, qui n’a pas rencontré un accueil très favorable en Inde, s’implante aisément au Sri Lanka, et l’île devient un bastion du bouddhisme. Quant aux Tamouls, ils arrivent sur l’île dès la fin du iiie siècle, depuis le continent indien, et restent liés sur les plans culturel et religieux à l’État du Tamil Nadu, leur pays d’origine. C’est à cette époque (ive siècle) qu’Anuradhapura se voit accorder le statut de première capitale du Sri Lanka, statut qu’elle conserve jusqu’au milieu du xie siècle.Au début du xe siècle commence l’occupation de l’île par la dynastie indienne Chola, qui l’unifie au xiie siècle et crée une nouvelle capitale, Polonnaruwa. La pénétration européenne débute dans les premières années du xvie siècle avec l’arrivée des Portugais, évincés à partir de 1658 par les Hollandais. L’île est annexée en 1796 par les Britanniques, qui en font une colonie de la Couronne en 1802. Les dernières résistances sont étouffées avec la prise du royaume de Kandy, au centre du pays, dans une région montagneuse, en 1815. Dès lors, les Anglais développent les plantations de thé, et Colombo devient une escale active sur la route empruntant le canal de Suez.

L’indépendance

Aprés avoir reçu un statut d’autonomie (1931), Ceylan accède à l’indépendance en février 1948 dans le cadre du Commonwealth. Dès cette année, des élections libres sont organisées, qui donnent le pouvoir au Parti national uni (UNP), d’obédience conservatrice ; celles de 1956 sont remportées par le Parti de la liberté du Sri Lanka (SLFP, gauche). Son dirigeant, Solomon Bandaranaike est assassiné en 1959 ; sa veuve, Sirimavo Bandaranaike, lui succède, quelques mois plus tard à la tête du SLFP et au poste de Premier ministre, qu’elle conserve jusqu’en 1965. Ces deux formations politiques se succèdent dès lors à la tête du pays.Dès l’accession à l’indépendance, les Cinghalais exercent leur suprématie sur tous les rouages de l’État (politique, justice, administration, armée, économie, etc.). En 1960, l’adoption d’une loi déclarant le cinghalais unique langue officielle provoque le soulèvement de la minorité tamoule ; exclue de la vie politique, celle-ci réclame une plus grande autonomie vis-à-vis au gouvernement central.
Compagnies de commerce en Inde et à Ceylan

En 1972, une nouvelle Constitution est promulguée. Le pays devient une république et prend le nom de Sri Lanka

La question tamoule

Le conflit entre l’État sri-lankais et la minorité tamoule prend une nouvelle tournure à partir de 1974, avec la revendication de la création d’un État indépendant dans les provinces du nord et de l’est de l’île. En 1983, les dissidents tamouls, regroupés au sein des Tigres de la libération de l’Eelam tamoul (LTTE), entrent en rébellion. En 1987, le gouvernement accorde finalement au tamoul le statut de langue officielle, tout en acceptant l’offre indienne d’envoyer des troupes sur l’île pour y rétablir la paix. Les séparatistes tamouls, dans un premier temps, acceptent de ne pas affronter les troupes indiennes, en échange de promesses d’autonomie, puis reviennent sur leur position. En 1988, ce sont les Cinghalais de l’île qui, à leur tour, protestent contre la présence de troupes étrangères sur le territoire. Le président Ranasinghe Premadasa, élu en 1989, est assassiné en 1993 dans un attentat attribué à un Tamoul séparatiste. Fille de Solomon Bandaranaike, Chandrika Kumaratunga (Alliance populaire) est élue à la tête de l’État en novembre 1994, après avoir exercé la fonction de Premier ministre durant les six mois précédents. Elle met en œuvre un vaste programme de réformes économiques et politiques, mais après un cessez-le-feu de quatorze semaines conclu en 1995, la guerre civile reprend.

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16 juillet 2006

Culture et tradition

Culture et tradition

Le decret des étoiles
Pour tous les Sri Lankais, l’astrologie joue un rôle décisif à tous les âges de la vie. Aucune décision majeure n’est prise sans consultation préalable d’un astrologue, que ce soit pour la construction d’une maison, un futur investissement ou un voyage à entreprendre. Tout est fonction de la position des étoiles.

La naissance d’un enfant est la première occasion de rendre visite à l’astrologue. Celui-ci établit le thème astral qui décidera de son avenir. C’est un véritable rituel au cours duquel se déroule nam tebima, la « cérémonie du nom », c’est à dire la prescription des trois ou quatre premières lettres avec lesquelles les parents devront forger le nom qui portera bonheur à leur enfant.
Lors de la puberté des jeunes filles, c’est l’astrologie encore qui l’emporte sur la nature. À l’apparition des premières règles, leur mères s’en vont consulter l’astrologue qui détermine le jour où elles sont en âge d’être femmes, en fonction de la conjonction astrale de leur naissance. Jusqu’à cette date, la demoiselle reste cloîtrée, ne recevant de visites que des femmes de sa famille. Le jour J, sa puberté est proclamée à travers une fête à laquelle est conviée toute la parentèle qui remettra à la jeune fille, désormais bonne à marier, ses cadeaux de bijoux et parures.

Pour chaque individu, l’astrologue détermine la pierre précieuse la plus favorable : portée à même la peau, elle sert de prisme bénéfique aux rayons du soleil qu’elle transmet au corps. Certaines gemmes ont même le pouvoir d’infléchir un destin trop cruel, comme celles qui composent la navaratna mudda, la « bague aux neuf pierres ».

Les signes zodiacaux figurent bien sûr en bonne place dans les annonces matrimoniales. Il faut vérifier qu’il n’y a pas incompatibilité entre les futurs conjoints. L’astrologie décide aussi de la date des noces en fonction de la meilleure conjonction astrale et permet de contrôler que les 20 vertus requises pour les époux sont bel et bien compatibles.

Au Sri Lanka, même la politique ne va pas sans consultation astrologique. On confie aux astrologues le choix de la date la plus favorable aux élections parlementaires qui ont lieu tous les 6 ans.

Les Bonzes


69 % de la population du Sri Lanka est bouddhiste. Cette religion domine donc largement les autres et constitue l’un des piliers de la société sri lankaise. D’ailleurs, la Constitution impose à l’Etat de protéger le culte bouddhiste sans empêcher la pratique d’autres religions. Le pays compte plus de 6500 monastères rassemblant 20 000 moines répartis en trois congrégations principales. Cette comunauté perpétua la longue tradition de méditation et d’enseignement qui débuta au VIe siècle avant J.-C., lorsque le Bouddha fit son premier sermon près de Bénarès devant 5 disciples qui constituèrent la communauté originelle et décidèrent de suivre la loi bouddhique.

En pali, le moine bouddhique s’appelle bhikku, signifiant mendiant. En effet, il est sans foyer ni emploi et ne doit pas, en théorie, posséder d’argent selon l’une des nombreuses règles de la disicipline monastique (le Vinaya). Parmi les autres règles, il doit s’abstenir de tuer, de voler, de mentir (en particulier de faire semblant d’avoir atteint les étapes de l’Eveil), de boire de l’alcool, d’avoir des relations sexuelles, de manger l’après-midi, de s’asseoir sur un siège confortable ou d’assister à un spectacle de danse ou de musique. Il se doit aussi de s’habiller simplement. Lors de leur ordination, il se rase la tête et reçoit de sa famille sa robe très caractéristique couleur safran.

Son emploi du temps quotidien dans le monastère est partagé entre l’étude des textes bouddhistes, la méditation et les éventuelles cérémonies de bénédiction organisées à la demande d’un laïc. Il prend deux repas quotidiens, le premier à l’aube et le second avant midi. Lors des jours de poya (plaine lune), tranditionnellement fériés au Sri Lanka, les fidèles se rassemblent dans les monastères pour assister à une cérémonie qui dure du lever au coucher du soleil. Elle est l’occasion pour les bonzes d’assister les fidèles dans leur méditation, alors que ceux-ci leur offre de la nourriture, des vêtements, des médicaments et d’autres objets usuels. Le don est d’ailleurs l’action méritoire la plus répandue parmi les fidèles et constitue un autre héritage ancestral puisque la communauté originelle et le Boudddha lui-même survivèrent par les dons des laïcs.

La pratique de la religion bouddhiste au Sri Lanka est d’ailleurs l’une des plus orthodoxes : elle se revendique du Theravada, la Voie des Sciences, qui suit scrupuleusement les préceptes des textes anciens en pali. De manière générale, les laïcs ont une attitude emprunte de respect et de déférence envers les bonzes. Ils ont même leur plae réservée dans les bus. Il existe une congrégation, les vanavasin, qui vit de manière austère à l’écart des villes et des autres congrégations dans la contemplation et l’étude des sûtras, les sermons et paraboles du Boudhha. Leurs monastères sont situés en forêt. Ils ont peut de contacts avec les laïcs, sauf si ces derniers viennent apporter des dons.

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16 juillet 2006

Histoire du Bouddha

Histoire du Bouddha

Siddhartha (Bouddha) est né autour de 563 avant JC. dans la ville de Kapilavastu (située aujourd'hui au Népal). Les parents de Siddhartha étaient le roi Shuddhodana et la reine Maya, qui dirigeaient le clan des Sakyas. L'histoire de sa naissance est miraculeuse... Une nuit la reine Maya rêva qu'un éléphant à six trompes portant dans sa trompe une fleur de lotus rentra en elle par le côté droit, au même moment un fils fut conçu. Les Brahmanes (religieux) vinrent et interprétèrent le rêve de la manière suivante. cet enfant sera soit le plus grand roi du monde soit le plus grand des ascètes ( saint homme qui pratique l'abandon de l'égo). Le futur enfant fut nommé Siddhartha, ce qui signifie "celui dont le but est accompli""

Plus tard quand la reine Maya était en route pour la maison de son père afin de préparer la naissance, elle fit arrêter son chariot dans le jardin de Lumbini et s'appuya sur une branche d'arbre pour se reposer. A cet instant , Siddhartha sortit de son sein droit sans aucune aide. L'enfant marcha sept pas dans les quatre directions, et des fleurs de lotus surgirent là ou son pied touchait terre. Alors l'enfant déclara, "Je n'aurai plus de vie futures à endurer, ceci est ma dernière incarnation. Maintenant puisse je détruire et arracher les racines cause de la souffrance des renaissance successives." Sept jours plus tard la reine Maya mourut. Mahaprajapati, la soeur de maya s'occupa de Siddhartha. Le roi Shuddhodana évita à Siddhartha toutes les formes de souffrance. Quand siddhartha eu 20 ans , il épousa Yasodhara, la fille de l'un des ministres, et un an après ils eurent un fils nommé Rahula (ce qui signifie "entrave" ou "empêchement").


A l'âge de 29 ans, Siddhartha demanda à son conducteur de char , Channa, de l'emmener deux fois hors de la cité sans l'assentiment du roi. Durant ces deux voyages, Siddhartha vit "Les quatre spectacles" qui changèrent sa vie. Pendant son premier voyage, il vit la vieillesse, la maladie et la mort. Dans le second, il vit un saint homme errant, un ascète, sans possessions. Siddhartha commença à questionner le saint homme, lequel était rasé, vêtu d'une seule robe déchirée jaune, et s'aidant d'un bâton de marche. L'homme lui déclara, "Je suis... terrifié par la ronde incessante des vies et des naissances et ai adopté cette vie de pauvreté afin d'atteindre la libération... Je cherche l'état béni dans lequel la souffrance, la vieillesse et la mort sont inconnus." Cette nuit là, Siddhartha silencieusement embrassa sa femme et son fils, et ordonna à Channa de le conduire dans la forêt. En lisière de forêt, Siddhartha sortit son épée incrustée de joyaux, et se coupa les cheveux et la barbe. Il ôta tous ses habits princiers et enfila la robe jaunes des saints anachorètes. Il ordonna à Channa de rapporter toutes ses possessions à son père.

A partir de ce moment Siddhartha erra à travers le nord est de l'Inde, visitant des saints hommes, et étudiant les concepts de Samsara (réincarnation), Karma (loi de cause à effet), et Moksha (délivrance) . Attiré par les idées sur Moksha, Siddhartha s'installa sur les rives de la rivière Nairanjana , et pratiqua de sévères austérités, restant constamment en méditation. Après six années passées à boire et à manger juste suffisamment pour rester en vie, Son corps était émacié, et il devint très affaibli. Cinq autres saints hommes se joignirent à lui, espérant apprendre de son exemple.

Un jour, Siddhartha réalisa que ces année d'austérité n'avaient fait qu'affaiblir son corps, et qu'il n'arrivait plus à méditer efficacement. Quand il marcha vers la rivière pour prendre son bain, il était devenu trop faible pour avancer, et les arbres inclinèrent leurs branches afin de le soutenir. A cet instant, une jeune fille nommée Nandabala vint et lui offrit un bol de lait et du riz, que Siddhartha accepta. A cette vue les cinq compagnons de siddhartha le quittèrent. Régénéré par cette nourriture, Siddhartha s'assit sous un figuier (connu sous le nom d'arbre de la bôdhi, ou arbre d'illumination) et résolu de trouver une réponse à la question de la souffrance. Pendant qu'il
méditait, Mara (le diable) envoya ses trois fils et filles pour tenter Siddhartha avec la soif, l'appétit, le mécontentement, et la tentation des plaisirs. Siddhartha, inébranlable, entra dans une profonde méditation, et obtint le souvenir de toutes ses naissances, comprenant l'infini cycle des naissances et des morts, et avec une certitude absolue il rejeta les passions et l'ignorance générateur de la naissance. C'est là, que Siddhartha atteint l'éveil et devint le Bouddha (l'illuminé). Désirs et souffrances s'étant éteint devenu Bouddha, il expérimenta le Nirvana... "Il y a un lieu qui n'est ni la terre, ni l'eau, ni le feu, ni l'air...qui n'est pas ce monde ou un autre monde, ni le soleil ou la lune. qui ne va et vient, endurant naissance ou mort. C'est l'absolu fin de toutes les souffrances." Néanmoins plutôt que de rejeter ce corps et cette existence le bouddha fit un acte de grand sacrifice. Il retourna vers le monde, déterminé à partager son illumination autrui de manière à ce que tous puissent mettre fin aux cycles des souffrance causées par le cycle incessant des renaissances.

Bouddha vint à la citée de Sarnath et retrouva dans le parc des cers les cinq ascètes qui l'avaient quitté. quand ils virent le bouddha, Ils réalisèrent qu'il avait atteint le plus haut état de sainteté.. Le bouddha commença à leur enseigner ce qu'il avait appris. Il fit un cercle sur le sol avec des grains de riz, représentant la roue de la vie que l'on parcours existences après existences. Cette enseignement fut appelé le sermon du parc des cerfs, ou encore "La mise en mouvement de la roue de la Loi." Siddhartha révéla qu'il était devenu un Bouddha, il décrivit les plaisirs qu'il avait connu en tant que prince, et sa vie de sévères pratiques ascétiques. Aucun de ces chemins ne pouvait mener vers le Nirvana. Le chemin juste est la Voie du Milieu, qui consiste à rester loin des extrêmes.

"Répondre aux exigences de la vie n'est pas condamnable," enseigne le Bouddha. "Garder le corps en bonne santé est un devoir, autrement nous ne serons pas capable d'allumer la lampe de la sagesse et de garder notre esprit ferme et clair." Bouddha leur enseigna alors le Dharma, qui consiste dans les quatre nobles vérités et l'octuple sentier. Les cinq ascètes et d'autres se joignirent au bouddha et l'accompagnèrent partout. Comme de plus en plus les rejoignait, le Bouddha organisa une Sangha, une communauté de bhikkus (moines ordonnés et plus tard de nonnes). La Sangha préserva le Dharma, et permit aux bhikkus de ce concentrer sur le but que représentait le Nirvana. A la saison des pluies ils s'installaient dans des Viharas (lieux de retraite). Upasaka, les disciples qui croyaient dans les enseignements du Bouddha, mais ne pouvaient suivre les strictes règles de la Sangha, étaient
 encouragés à suivre les cinq préceptes. Le Bouddha retourna à son lieu de naissance Kapilavastu, son père fut mortifié de voir venir son fils lui mendier de la nourriture. Bouddha embrassa le pied de son père et dit, "Vous appartenez à une noble lignée de roi. Mais j'appartiens à la lignée des Bouddhas, et tous ont vécu d'aumônes." le roi Shuddhadana se remémora alors la prophétie des brahmanes et se réconcilia avec son fils. La femme du Bouddha son fils et plus tard son cousin Ananda rejoignirent alors la Sangha.

Quand le bouddha eu 80 ans, un forgeron du nom de Cuanda lui offrit de la nourriture qui le rendit malade. Le Bouddha se forçat à voyager vers Kushinagara, il s'allongea sur le côté droit pour se reposer dans un bosquet d'arbres shala. Comme une foule de fidèles se rassemblait, les arbres fleurirent et répandirent des pétales sur le Bouddha. Le Bouddha dit à Ananda, "Je suis vieux et mon voyage s'approche de sa fin. Mon corps est comme une charrette délabrée maintenu ensemble par quelques courroies de cuir." Trois fois, le Bouddha demanda si l'on voulait lui poser des questions, mais tous restaient en silence. Finalement le Bouddha dit, "Tout ce qui est créé est sujet au déclin et à la mort. Tout est transitoire. Travailler pour votre libération avec diligence. Passant successivement par plusieurs états de méditation, Bouddha décéda et atteint le Parinirvana (la cessation des perception et de la sensation).

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